Avec M. SECULA Guillaume (PDG) / M. DESHOUILLERES Jérémy (Directeur du site)
Présents : Thérèse CAIREY REMONAY / Cat DE OLIVEIRA/ Cat BOVET / Eric DELACROIX/ Patrick CHAMPREUX/ Colette JACQUET/ Jean-Marc PECHOUX et 2 conjoints Martial CR et Gérard BOVET
Excusés : François TOURNIER/Christian BAHY/ Roger BOREY
A la demande de François, les dirigeants de Doubs-Recyclage ont été remerciés pour leur réactivité concernant le capot sur le trottoir, rue des Argillers.
La visite et les échanges ont été très fructueux pour tout le monde, les dirigeants se montrant à notre écoute, au point de nous communiquer leur numéro de portable.Nous avons donc été bien reçus. Cela donne un peu d’espoir de faire évoluer les choses.
Question :Avez-vous un bail de location concernant la bande de terrain que vous occupez et qui appartient à la commune ?
Réponse : C’est en cours de régularisation sur la base d’un bail précaire (ndlr : renseignement pris, ce serait un contrat sans durée d’engagement minimum).
Question :Si la commune ne vous louait pas les terrains communaux, que feriez-vous ?
Réponse : Cela engendrerait un flux de camions beaucoup plus important qu’actuellement.
Devant l’objection, qu’il y avait risque de susciter alors la réaction du quartier, G. Secula a semblé embarrassé, manifestement conscient de la nécessité d’éviter une telle situation (ndlr : ce discours est repris par le maire qui dit, pour éviter le cataclysme mais surtout pour tuer tout débat, qu’il n’a pas d’autre choix que de continuer à louer).
Pour ses dirigeants, le site est très bien placé car il n’y a pas de nuisances sonores pour les riverains (à part chez Mercadier). Le ravalement de façade du bâtiment est en cours de réflexion et sera mis en œuvre dans quelques mois.
Concernant les écoulements d’effluents dans la nature en contrebas de la voie ferrée et en direction du Doubs, la réponse a été très évasive (ndlr : manifestement ce n’a pas été pour eux, jusqu’à présent, un sujet de préoccupation, et maintenant ?).
Jean-Marc a évoqué les graves problèmes liés au trafic de poids-lourds au travers de notre quartier résidentiel sur une voirie inadaptée. Il a insisté, auprès de nos interlocuteurs, sur la nécessité d’un déplacement de l’installation en des lieux plus propices, par exemple à proximité du partenaire Préval. Il a indiqué qu’il allait envoyer un courrier au préfet, dans ce sens, pour qu’une réflexion soit enfin menée, qu’une solution soit envisagée, d’autant plus que cette installation est classée ICPE, donc soumise à autorisation préfectorale (DREAL). Les dirigeants, conscients des nuisances, n’y sont pas hostiles, le principal obstacle étant d’ordre financier.
Il nous a été dit et montré que cette installation n’est en fait qu’un lieu de collecte puis de déplacement de matières recyclables, avec une activité de découpage marginale, à l’aide d’une presse-cisaille déplacée très occasionnellement et une forte activité de transport (ndlr : elle est donc relativement facile à déménager et à transplanter ailleurs à des coûts supportables).
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